Eaux vives (2008-2012)

Oasis urbain

L’omniprésence de l’eau, initialement vive, traçant son chemin. L’eau vive s’échappe, se fraie un chemin en y laissant son empreinte, la percolation entre nos doigts lui font suivre son cours sans qu’on puisse la retenir. De l’eau vive, empreinte de mouvement et d’énergie, celle-ci se transforme en eau créatrice, matérialisée ou humanisée. Sur son chemin, l’empreinte laisse entrevoir une présence passée et discrète.

Dans ce projet, l’eau s’est comportée comme un personnage de roman qui échappe au contrôle de l’écrivain : l’eau vive, insaisissable, au fil du temps, elle s’est ancrée comme fil conducteur par sa présence dans l’image.